Hors d'oeuvre

J’ai appétit je dévore la crinoline fleurie au-delà du miroir où les lèvres bonbons embrassent le couperet du boucher qui danse quand les astres farcis sont prétextes aux regards de la chair qui écume un filet du destin dans un corps de chagrin qui accueille l’aurore au détour imprévu de la vie qui s'endort évanouie assoupie sous les phares de la mort

 

Faites vite avant de vous étendre et d’éteindre la lumière